Mathilde, 47 ans, blonde et …. trou à bites ?

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Mathilde trou à bites gangbang 19

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Peu importe la taille des sexes qu’elle a à gérer, Mathilde les accepte tous. Pas de discrimination si ses partenaires bandent comme des taureaux. 47 ans, plus de 25 ans dans le libertinage, Math organise elle-même ses parties fines, ses rendez-vous dogging. Ce trou à bites choisit,trie sur le volet tous ces rageux, ces dalleux, ces affamées de chatte. La pratique sexuelle que notre blondasse affectionne, c’est niquer et partouzer  en plein air. Telle une chienne en rut, sans défense, offre ses trous en plein bois, par une température fraiche.

Gangbang en pleine nature pour cette exhibitionniste pas frileuse

Le gangbang dogging, c’est trop cool. On est en plein air, on respire les exhalaisons  des buissons, de la mousse et des arbres. Juste une nappe comme simple scène, Mathilde se met vite en action et doit branler, sucer et s’activer sur les phallus qui ont tendance à se rétrécir à cause de la température fraiche. Handjob à la chaine, pipe à gogo, notre salope a du taf parce que ses partenaires ne sont pas toujours de première fraicheur. Une fois la vitesse de croisière  et la température de base atteintes, ça bande et Mathilde suce à gogo. Exhibitionniste pas frileuse pour un sou, elle chauffe vite pour se livrer à son gangbang. Positionnement de base : la blonde nue en corset allongée sur le dos, 3 mecs à gauche, 3 à droite, elle branle  et se fait mettre des doigts avant qu’un mec ne la pénètre et lui donne sa cartouche. En ovale qui encercle, la salope se fait troncher de façon cérémonieuse.

Grosse partouze crade dans des Formule 1

La blondasse adore aussi se faire partouzer à l’hôtel. Le risque ( et l’excitation de se faire choper ) est moins grand. Le revers, ou plutôt l’avantage, c’est que notre pétasse peut se lâcher  et aller plus loin dans ses fantasmes, dans ses extrémités en terme de sexe hardcore. Voilà pourquoi c’est souvent une grosse partouze crade au cours de laquelle ses trous sont mis à rude épreuve. Pas de quartier dans le confinement et l’exiguïté pour se faire déchirer à fond. En effet, les hommes eux-mêmes se montrent moins stressés et plus chauds. Ils la pelotent comme des bêtes affamées, en rut. Regards lubriques échangés, doigts baladeurs et glands gonflés de sang et de plaisir.
On parle  ainsi ici de grosse sodomie profonde. Pas de quartiers pour notre libertine chienne. Elle se fait péter son gros cul blanc et triturer le bout de ses tétons sensibles. Ca finit toujours par une douche collective de sperme sur la poitrine sèche, la bouche envieuse de Mathilde. Notre trou à bites a les nerfs en palpitation, les muqueuses suintantes. Chaque gangbang mature la met toujours dans ces états édéniques et extatiques qu’elle doit vite recommencer.

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