Cougars connectées maintenant : 19 profils dispo !
C’est l’histoire d’une cougar sexy quinquagénaire qui a connu sa première expérience sexuelle interraciale.
Je m’appelle Jeanne. J’ai 53 ans et je veux ici vous raconter une belle aventure qui m’est arrivée il y a quelques mois. Voilà, après mon divorce il y a deux ans, j’ai eu du mal à rebondir. En pleine ménopause et surtout en plein doute sur mon avenir amoureux, je me suis souvent dit que je ne retrouverai jamais d’homme. Après tout, j’avais passé plus de la moitié de ma vie avec le même homme. Sans jamais le tromper, j’ai toujours été une épouse fidèle. Avant le mariage, ma vie amoureuse s’était résumée à quelques flirts sans lendemain mais rien de transcendant. Mon ex-mari a été ma boussole pendant toutes ces années. Et soudain, c’est le vide, le précipice. Me retrouver seule à plus de 50 ans, j’ai vite appris que j’étais devenue une femme mature. Le terme ne m’était jamais venu à l’esprit.
Un divorce difficile mais je décide de faire des rencontres
Le divorce a été difficile mais je ne me laisse pas abattre. En effet, de nature plutôt optimiste, je décide de ne pas me laisser abattre et de me remettre dans le concert des échanges amoureux. Le premier réflexe est de sortir avec mes copines célibataires ou divorcées dans les bars, et les afterwork. Là, je réalise que je n’ai ni le look, ni l’attitude des femmes prédatrices qui attaquent les hommes ou les appâtent dans leurs filets. Non seulement le divorce a été difficile mais la suite n’apparait pas moins ardue. Les rencontres, c’est pas évident dans la vraie vie. Aussi, je prends mon courage à deux mains et m’inscris sur un site de rencontres femme mure. Plus c’est spécialisé, plus je devine que je vais trouver chaussure à mon pied. Et là aussi, c’est la désillusion. Entre les gros relous, les pervers, les mythos, je me dis que je ne trouverai pas mon bonheur.
Seulement, savais-je au moins ce que je voulais ? Ce qui est sûr c’est que je ne comptais pas me lancer dans une relation sérieuse. Du moins pas pour le moment. Il était temps peut-être de me tester sur le marché de la rencontre. Pourquoi ne pas en profiter et pencher pour ce que tout le monde appelle vulgairement le plan cul ? Pendant des années, j’ai méprisé les célibataires, notamment les femmes mures de mon âge, de ne pas vouloir aller plus loin qu’une nuit de sexe. Pourtant, au pied du mur, je réalise que cette facilité de vie est peut-être un chemin vers le bonheur, au moins l’épanouissement. Et pourquoi ne pas se la jouer cougar sexy et débutante ?
Devenir une cougar m’a accompagnée sur le chemin du plaisir
Ca a l’air pompeux comme ça mais décider de draguer ou convoiter des hommes plus jeunes, m’a ouvert la voie. Me voilà lancer sur le chemin du plaisir. Cependant, quitte à choisir des mecs plus jeunes, autant viser des mâles dont je me servirais pour mes fins très intimes et personnelles : le plaisir sexuel et charnel.
Je me re-connecte sur internet et cette fois sur un site de plan cul cougars, rien que pour les femmes de mon âge en quête de beaux mâles. Et quitte à choisir maintenant que j’étais libre, j’allais opter pour un beau black. Il s’appelle Blaise, il est togolais et a 25 ans. Son sourire m’a immédiatement conquise et j’ai cliqué sur son profil en lui envoyant directement plein de petits coeurs. Sa première approche a été cash et j’ai adoré ça : « Tu es l’une des plus belles femmes que j’ai jamais vues. Une cougar sexy et j’ai qu’une envie, c’est te faire grimper au rideau. ». D’aucunes auraient mis un vent, j’étais littéralement sous le charme de ce bel africain. J’ai donc pris rendez-vous et devenir cougar se concrétisait au fur et à mesure. Des papillons dans le ventre, je me suis mis sur mon 31 ans. En me regardant dans le miroir, j’étais moi-même surprise des efforts que j’avais déployés afin de faire honneur aux compliments de Blaise.
Premier rendez-vous et il débarque avec un pote
Je l’attends au bar d’un hôtel cossu, à Paris, en mode cougar sexy et femme fatale. Les hommes me regardent et je suis à la fois gênée mais aussi excitée. C’est aussi la première fois qu’autant de regards d’hommes se posent sur moi. Pensent-ils que je suis une pute ? Au bout de 10 minutes, l’arrivée de Blaise met fin à mon supplice. Cependant, j’ai un choc lorsque je le vois arriver avec un pote. Beau gosse, le copain mais je reste dans l’embarras. A-t-il l’intention de me proposer un plan à 3 ? Il est confus et m’explique qu’il n’a pas eu autre choix que de venir avec Thimotée. C’est son cousin du Togo en transit à Paris pour deux jours. Il ne pouvait le laisser seul chez lui et le temps manquait. J’ai trouvé ça un peu touchant qu’il ait un sens de l’amitié aussi pointu. Et a ce moment, la donne a changé. Je suis devenue la chasseuse, en menant les débats et en draguant les deux hommes en même temps. Mes deux blacks paraissaient un peu déstabilisés et intimidés. Mais je les ai vite détendus lorsque j’ai carrément proposé de prendre une chambre pour le soir même dans le palace.
A 650 euros la chambre, j’étais totalement inconsciente d’autant que mes finances ne me le permettaient pas. Mais les garçons ont été gentlemen et ont réglé l’addition.
Me voilà moi, Jeanne, femme française n’ayant jamais eu de rapports sexuels avec un homme noir, encore moins avec deux, nue dans un lit d’un hôtel parisien. A ce moment, je ne réfléchis pas et je suis simplement transportée, excitée à l’idée de cette nouvelle expérience. On fait monter une bouteille de champagne dans la chambre, met un peu de musique. Thimotée est beaucoup plus chaud que son cousin. Pourtant, rien ne le prédestinait à se retrouver la queue à l’air dans le lit d’une cougar sexy blanche de 53 ans. Il avait bien d’autres projets sauf celui d’un plan à 3 avec son propre cousin. Il sort son énorme pénis ( je n’avais jamais vu ça de ma vie !!! ) et je suis un peu déstabilisée en posant toutes sortes de questions. Vais je souffrir ? Puis-je raisonnablement mettre une aussi grosse bite dans ma chatte ?
Jeanne cougar se fait défoncer
Ma première pipe sur une énorme queue black …
Je ne me pose pas de questions et je prends en bouche l’énorme queue. Non seulement elle est longue mais en plus elle est épaisse et dure. La sensation est bizarre et à mesure que je le suce, je sens un bout de chair me titiller le clitoris. Pendant un moment, j’avais totalement oublié Blaise, qui était pourtant mon rencard initial. C’est ma première pipe sur une énorme queue black et je ne sais pas si je m’y prends bien. En tout cas, Thimotée l’air d’apprécier. Puis je prends la bite de Blaise et je me retrouve à sucer deux gros chibres noirs. Première fois et je me sens comme une reine, comme une salope. Bref, je mouille et je suis prête à les recevoir en moi.
… et ma première double pénétration
En me levant ce matin-là si j’avais eu le moindre soupçon que je me ferais baiser par deux blacks en même temps, j’aurais souri et ri. Mais c’était pourtant concret et vrai ce qui m’arrivait. Je faisais l’amour en plan à 3 avec deux beaux togolais armés chacun de gros membres. Ils m’ont caressée, doigtée, embrassée, ont pris soin de ma petite chatte et aussi de mon petit anus encore vierge de sensations aussi fortes. Ma première double pénétration s’est déroulée avec la plus grande facilité. Bien que j’ai marché de travers le lendemain, j’ai adoré me faire prendre sauvagement par deux inconnus. Plus jeunes, plus endurants, je me suis vraiment sentie telle une cougar sexy sans tabous.
Ils ont été tellement patients avec moi. Les caresses sur les fesses, les mains baladeuses et les bisous dans le cou. Thimotée aimait mordiller mon oreille et ça a eu le don de faire mouiller encore plus. Il suffisait ainsi que je ferme les yeux et que je m’abandonne aux pénétrations puissantes de mes amants du soir. Orgasme sur orgasme, j’ai été une femme comblée le temps d’une nuit.
Si on m’avait dit après mon divorce que j’éprouverais autant de plaisir sexuel, j’aurais peut-être sauté la case mariage et j’aurais surement opté pour la case libertinage. Cependant, je me dis qu’il a probablement fallu que j’ai connu ce purgatoire qu’est le mariage avec de rencontrer l’extase avec deux beaux blacks qui n’étaient même pas nés le jour de mon mariage. ?
