Des femmes matures soumises, prêtes à tout pour jouir

Dans leur environnement doré, leur confort matériel, certaines femmes matures que l’on peut considérer comme des bourgeoises, s’emmerdent royalement. La plupart revendique un besoin crucial de sexe. Mais pas juste du sexe à la papa, les jambes en l’air en missionnaire le samedi soir. Non, elles auraient envie de se faire pénétrer par des amants sauvages, des hommes fougueux, la bave aux lèvres, qui ne prendraient pas de pincettes avec leur vertu et leur intimité. En d’autres termes, c’est bourgeoise soumise ou envie de fessée, de gifle dans leur gueule. Elles ont simplement envie d’être pousser dans leurs retranchements sur le point sexuel.

    • Catherine, c’est la pute à blacks de la bande. Mariée à un galeriste prout-prout, elle trompe en se fait ruiner la chatte par des grosses queues blacks.
    • Cul offert de bourgeoise : C’est le cul d’une bourgeoise, offert par son mari, pour se faire soumettre et rougir de douleur exquise.
    • Denise blonde en gagball : Denise a découvert le SM récemment et elle kiffe se prendre un gagball dans la bouche pour masquer ses cris de plaisir quand on la défonce à fond.
    • Dominque housewife ligotée : Dominque housewife ligotée, les yeux bandés, s’offrent à des gangbangs avec des mecs dont elle n’a jamais vu le visage.
    • Karina grosse truie : C’est la grosse truie du groupe. Blindée à la mort, Karina n’a pas de classe, n’est ni belle ni moche, juste un sac à foutre qui ferme sa gueule.
    • Mathilda : La bourgeoise blonde, sexy avec une image lisse mais un corps propre au shibari.
      Yolande bourgeoise à la grosse chatte : Putain de grosse chatte bien juteuse, c’est la bourgeoise soumise la plus « trou à bites » du lot.

Partageons ensemble ces quelques profils de quinquagénaires, distinguées à la ville, prêtes à se faire souiller et humilier dans l’intimité. En parcourant certains sites de rencontre hard et SM, les bourgeoises recherchent le frisson sexuel. Ce besoin irrépressible de se faire mettre un gagball dans la bouche. L’envie épidermique se faire contraindre dans la plus vile des coercitions. Elles manifestent un désir curieux de se faire ligoter, attacher et goûter au bondage. Tout en fermant leur gueule et ne se plaignant pas de ces extrémités auxquelles elles se livrent.

Ebats sexuels violents avec arrachage de vêtements

Le scénario reste toujours le même. Nos grandes salopes s’accoutrent de lingerie la plus fine, porte-jarretelles raffinés, tailleur de marque Chanel ou Dior. Tout cet accoutrement tombera ensuite sous les emprises violentes de leurs amants déchaînés. En effet, nos bourgeoises désirent ardemment se faire arracher leurs soutiens-gorge et leur culotte, se faire plaquer contre un lit. Ensuite, elle cambre leur cul, réclame de se faire écarter leurs grosses fesses pulpeuses à 2 mains afin que le mec y fourre sa langue ou sa bite sans lubrifiant, sans préliminaire. Ainsi, elles sont prêtes à jouir de la manière la plus violente et la plus brutale.
En général, c’est le cliché de la bourgeoise, choyée, chouchoutée, dorlotée par leur mari fortuné. Du coup, pas d’extase, pas de surprise, une vie lisse et bien réglée ou chaque séance os pas n’apporte plus l’épanouissement nécessaire.
En se faisant arracher leurs fringues sans ménagement, en faisant tomber les barrières sociales pour se mettre au même niveau, la bourgeoise soumise devient juste une femme à troncher.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *