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Sur son temps libre, Marianne, blonde Lilloise un peu oisive, aime faire du shopping sur le net. Sa dernière trouvaille : une tenue de soubrette qui excite son homme. En tout cas, son homme officiel parce que Marianne, 50 ans, n’est pas du genre monogame et fidèle. Grand bien lui fasse. En bonne femme au foyer et épouse d’un chef d’entreprise qui travaille 50 heures par semaine, notre salope du Nord s’amuse comme elle peut. Le temps libre, loin des yeux inquisiteurs et autoritaires de son mari, elle le passe à chauffer des hommes sur les apps de plan cul de Lille. L’histoire est toute simple, elle raconte qu’elle veut se faire remplir la chatte. Mais elle précise également que les jeux de rôle, les scénarios érotiques la titillent et échauffe sa libido. Sa dernière lubie : le fantasme de la soubrette.
Notre française aimerait se faire trousser par surprise en passant le plumeau
C’est un peu gnagnan et surfait comme scénario mais Marianne a toujours rêvé de se déguiser en soubrette, passer le plumeau et se faire surprendre par son patron, la queue à l’air. A force de regarder des vieux films porno de Marc Dorcel des années 90, ça inspire. Donc, notre Lilloise a fait l’acquisition de cette petite tenue de femme de ménage, noire et blanche. A l’ancienne comme à l’époque de la vieille aristocratie, elle veut être la soubrette victime du droit de cuissage de ses employeurs. Une petite main au cul de la part de monsieur, sans se plaindre ni riposter. Petite caresse en douce de ses gros seins, troussée dans la cave avec le fils du patron. Elle fantasme de se faire surprendre en plein passage de plumeau et en plein époussetage par une main qui lui saisirait son gros cul alors qu’elle est perchée sur un escabeau. Sans pouvoir protester, Marianne descendrait docilement et prendrait avec cérémonie le membre en érection.
Le fantasme de la soubrette obéissante
Marianne jouerait donc avec son amant le rôle de la soubrette obéissante et docile. Pas moyen de refuser de sucer sous peine de se faire renvoyer. Notre femme de ménage salope serait donc corvéable à merci. Oui, ma bonne chienne, tu es là pour nettoyer et astiquer. Tu passeras à la casserole avec monsieur, le fils boutonneux de monsieur qui perdra sa virginité dans ta chatte altruiste. Marianne accepterait de se mettre à genoux entre deux ménages pour tailler des pipes alors que la mère vaque à ses occupations en ville. Voilà le fantasme ultime de notre Lilloise. La lutte des classes traduite dans sa version la plus avilissante intimement.
Baisée par le Père comme par le jardinier
Dans ses élucubrations érotiques, Marianne fantasmerait aussi de se faire baiser par le petit personnel mâle. Par un chantage pervers, Marianne aurait ainsi été obligée de se faire baiser par le jardinier comme par l’homme de maintenance. Afin de ne pas la dénoncer à son mari, ces salauds feraient chanter notre soubrette en chaleur. Mais Marianne aimerait ça parce que les coups de sexe de ses congénères seraient évidemment plus puissants et virils. Rien à voir avec le sexe édulcoré de ses patrons. Baisée par le jardinier, Marianne éprouverait des frissons bestiaux et des montées de sève irrépressibles. La force et la vigueur de l’homme manuel combleraient et complèteraient les échanges sexe soft du père, plus attentionné.
Sa chatte remplie par tout l’organigramme de la maison, c’est le fantasme de notre salope Lilloise. L’ironie c’est qu’elle-même, a une femme de ménage. Parfois, Jacqueline souhaiterait échanger le temps d’une journée sa vie de femme soumise, écrasée par le quotidien. Pour la simple et bonne raison que sa position inférieure dans l’échelle sociale la ferait passer pour une femme facile. Une obligée qui ne peut dire non aux avances de homme. Et Marianne n’a pas envie d’être courtisée. Elle veut juste qu’on dispose d’elle comme une vulgaire chatte à remplir, un trou à combler. Etre objétisée c’est tout.